TATIN D’ABRICOTS AU ROMARIN

Vous ne trouvez pas que les fruits d’été nous donnent une multitude d’envies pour nos desserts ? Pour moi, c’est le cas. Cette idée-là vient d’un magazine, et j’ai succombé dès que j’ai vu de quoi il s’agissait, tous ces fruits, ce caramel d’abricots que j’imaginais déjà imbibant cette tatin et se mariant parfaitement avec une boule de glace à la vanille.

Je peux vous dire que nous avons léché le plat, petits et grands, et adoré cette tarte tatin qui change de la classique tatin aux pommes. Le petit goût acidulé des abricots tièdes et de leur caramel était tout simplement divin associé à la glace à la vanille. J’ai préparé la pâte la veille, réservée au frais, je l’ai sortie à température ambiante 2h avant de l’abaisser. Ensuite dénoyauter les abricots, les faire revenir dans le beurre, le sucre, et les brindilles de romarin. Passage au four pendant le repas, 5 minutes de repos pour ne pas de brûler, démoulage et dévorage !!

Vous pourrez remplacer le romarin par de la lavande de votre jardin si vous en avez, histoire de parfumer les abricots différemment …

Ce que vous pouvez préparer à l’avance : la pâte et la réserver filmée au frais, mais aussi la cuisson initiale des abricots, qui doivent complètement refroidir avant d’être recouverts de l’abaisse de pâte.

TATIN D’ABRICOTS AU ROMARIN

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Nombre De Personnes : 6

Préparation : 15 min  / Cuisson : 25 à 30 min  / Attente : 2h (ou une nuit) pour la pâte + 30 min pour faire refroidir les abricots

Difficulté : Très Facile

 

INGRÉDIENTS

Pâte : • 200 g de farine   • 1 càs de sucre glace  • 100 g de beurre  • 1 càs de vanille liquide  • 1 pincée de sel  • un peu d’eau

Et aussi :

• 800 g d’abricots pas trop mûrs (pour ne pas qu’ils s’écrasent à la cuisson)  • 50 g de beurre  • 80 g de sucre  • 1 petite branche de romarin (ou quelques fleurs de lavande non traitée)

 

RÉALISATION

Faire la pâte à l’avance : Mettre dans le robot pétrisseur la farine, le sucre glace, le sel et le beurre en petits morceaux. Faire mélanger jusqu’à obtenir une consistance sableuse. Ajouter la vanille, puis un peu d’eau (un fond de verre à peine), et laisser pétrir jusqu’à ce qu’une boule se forme. Entourer la boule de pâte d’un papier film et réserver au moins 2h au frais.

Sortir la pâte à température ambiante.

Laver les abricots, les dénoyauter.

Dans un plat pouvant passer sur le gaz et au four, faire fondre le beurre, y ajouter le sucre et les brindilles de romarin.

Lorsque le sucre commence à fondre, déposer les demi-abricots, face bombée sur le fond. Laisser cuire ainsi sur feu doux 10 minutes en remuant avec précaution de temps en temps et sans laisser brûler le caramel sous la abricots.

Laisser complètement refroidir les abricots (compter à peu près 30 minutes).

Préchauffer le four th6, 180°C.

Etaler la pâte sur un plan de travail fariné. Piquer avec une fourchette, tapoter pour enlever le surplus de farine, recouvrir les abricots, en rentrant les bords de la pâte entre les parois du moule et les abricots.

Enfourner pour 25 à 30 minutes, le dessus doit être bien doré. Laisser reposer 5 minutes et démouler sur une assiette de service.

Servir aussitôt accompagné d’une boule de glace à la vanille par exemple.

 

Source : Recette  vue sur C&V juin 2012, légèrement modifiée

SALADE NIÇOISE

 

Pas la vraie je sais, car pas de haricots verts, remplacés ici par des fèves pelées. Perso, je préfère les fèves aux haricots, même si les peler est assez long. Ici prévoyez 200 g de fèves surgelées (fraiches si vous en trouvez c’est encore mieux), un peu de patience, et on se tire de cette étape-là de la recette assez vite, pas de souci. 

Vue et adaptée d’un des derniers magazines C&V, j’ai adoré tous ces légumes au goût rehaussé par les anchois et les oignons rouges. Pas très long à préparer, vous pouvez cependant la réaliser un peu à l’avance et la réserver au frais quelques heures. Pensez cependant à la sortir à température ambiante 30 minutes avant de servir.

 

SALADE NIÇOISE

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Nombre De Personnes : 4

Préparation : 15 min  / Cuisson : 10 min

Difficulté : Très Facile

 

INGRÉDIENTS

• 400 g de petites tomates grappe  • 2 oeufs  • 200 g de fèves surgelées  • 15 olives noires (de Nice si posible)  • 10 filets d’anchois marinés à l’huile  • 1 grosse gousse d’ail  • 1 concombre  • poivre du moulin  • 1 oignon rouge  • huile d’olive  • quelques feuilles de basilic

 

RÉALISATION

Faire cuire les oeufs 10 minutes après ébullition de l’eau. Les passer sous l’eau froide et les écaler. Réserver.

Laver tomates et concombre. Couper les tomates en quatre quartiers, les saler, et les faire dégorger 10 minutes sur du papier absorbant.

Plonger les fèves dans une casserole d’eau bouillante pendant 1 minute. Les passer sous l’eau froide et les peler.

Frotter un plat creux avec la gousse d’ail pelée et dégermée. Écraser ensuite cette gousse et la mettre dans le plat avec 2 càs d’huile d’olive et l’oignon rouge pelé et finement émincé.

Couper le concombre en fines rondelles, les ajouter dans le plat. Déposer dessus les quartiers de tomates, les anchois, les fèves pelées, les olives noires et les oeufs coupés en quatre. Poivrer un peu et saupoudrer de basilic ciselé.

 

CLAFOUTIS CERISES ET AMANDES

 

Ce sont les premières cerises que j’achète. Elles étaient rouges presque noires, à peine sucrées, et me faisaient de l’oeil chez mon marchand ! J’en avais pris le double dont ce dont j’avais besoin pour un clafoutis, mais pas de souci, je savait qu’elles n’auraient pas le temps de s’abîmer avec les loulous toujours à plonger leurs petites mains dans ces fruits d’été.

Clafoutis donc, pour lequel quelques amis m’ont servi de cobaye une fois de plus.

Je dénoyaute très souvent les cerises pour les gâteaux et les clafoutis malgré ce qu’en diront les puristes. Les parents d’enfants gourmands, comme le sont les miens, comprendront je pense ces quelques précautions, qui peuvent éviter un passage aux urgences un samedi soir pour une dent cassée ou un noyau mal avalé par l’une de nos chères têtes blondes …

La consistance de ce clafoutis se tenait assez bien après refroidissement malgré le jus des cerises que j’ai rajouté à l’appareil. Pour un dessert plus pris si vous le préférez ainsi, un passage au frigo de quelques heures et il se tiendra davantage. Perso, je le préfère sans le passage par le froid, les saveurs se révèlent mieux et cette recette donnait quand même quelque chose de très présentable dans l’assiette. Très appréciable également en moule individuel, mais c’est à vous de voir …

Avec ces quantités, j’ai pu réaliser un clafoutis dans un moule ovale pour 6 personnes (28 cm de long), plus un petit dans un moule individuel de 10 cm.

CLAFOUTIS CERISES ET AMANDES

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Nombre De Personnes : 6

Préparation : 20 min  / Cuisson : 35 min

Difficulté : Très Facile

 

INGRÉDIENTS

• 600 g de cerises  • 3 oeufs  • 120 g de sucre  • 100 g de farine  • 50 cl de lait entier  • 1 càs d’arôme d’amandes amères  • 50 g  de poudre d’amandes  • 1 bonne poignée d’amandes effilées  • un peu de sucre roux, un peu de beurre pour le moule

 

RÉALISATION

Beurrer un moule, le saupoudrer de sucre roux. Réserver au frais.

Allumer le fout th6, 180°C.

Dénoyauter les cerises. Dans un saladier, fouetter les oeufs avec le sucre. Ajouter la farine, la poudre d’amandes,

puis le lait et l’arôme d’amande amères. Fouetter jusqu’à obtenir une consistance homogène.

Déposer les cerises au fond du plat beurré et sucré,

verser la préparation dessus, parsemer d’amandes effilées.

Enfourner pour 35 à 40 minutes. Le dessus doit être légèrement doré.

A la sortie du four, saupoudrer de sucre brun, et laisser complètement refroidir.

 

 

Source : Saveurs juin 2012, légèrement modifié.

 

 

PILAF DE POMMES DE TERRE ET PETITS POIS

Un pilaf normalement, c’est riz, coquillettes à la rigueur … 

Et bien non, pas forcément ! La preuve, vue chez Carole, a été très appréciée par mes petits bonhommes, perpétuels cobayes de mes envies de tester tout ce qui me fait envie sur les blogs que je fréquente et sur le bon millier de livres qui encombrent notre chez nous.

Des couleurs, de petits légumes très appétissants, il n’en fallait pas plus pour que je succombe. J’ai simplement adapté les quantités afin de pouvoir nourrir tous mes petits hommes, et le tour était joué. Nous avons mangé ce plat tiède en fin de soirée, vous pouvez bien-sûr le servir chaud un jour de grisaille, pour ranimer les couleurs, rien de tel vous verrez !

PILAF DE POMMES DE TERRE ET PETITS POIS

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Nombre De Personnes : 6

Préparation : 15 min  / Cuisson : 20 min

Difficulté : Très Facile

INGRÉDIENTS
• 120 g de petits pois frais (250 g avec les cosses)  • 1 kg de pommes de terre  • 3 échalotes  • 200 g de bouillon de légumes  •15 cl de vin blanc  • 2 gousses d’ail  • 15 feuilles de basilic  • 100 g de chorizo  • huile d’olive, sel, poivre, beurre
..
RÉALISATION
Une fois le spetits pois écossés, les cuire 4 minutes dans de l’eau salée bouillante. Les égoutter et les plonger dans de l’eau froide pour qu’ils conservent leur jolie couleur verte.
Couper le chorizo en petits cubes. Le faire cuire à sec, quelques minutes puis égoutter sur du papier absorbant.
Peler les pommes de terre et les couper en petits cubes (environ 1 cm). Eplucher et émincer les échalotes.
Faire chauffer un peu d’huile d’olive avec une noix de beurre dans une sauteuse. Y faire suer les échalotes et les gousses d’ail pelées et dégermées. Saler, poivrer, laisser cuire 1 minute puis ajouter le vin blanc.
Lorsqu’il est presque évaporé, ajouter les cubes de pommes de terre, mélanger pour bien les enrober, puis verser le bouillon.
Laisser cuire environ 20 minutes, en remuant de temps en temps.
Bien surveiller la cuisson : Les pommes de terre doivent devenir tendres mais ne pas s’écraser. Au besoin rajouter un peu de bouillon en fin de cuisson.
Une fois les pommes de terre cuites, hors du feu ajouter les petits pois, le chorizo et le basilic ciselé. Rectifier l’assaisonnement si besoin.
Servir chaud ou tiède.

 

MUFFINS RÉGRESSIFS AUX BANANES ET CARAMBARS

Retour en enfance, plein de souvenirs rattachés à ces barres de caramel souvent bien collantes sur les dents…

J’étais partie pour trouver une recette à faire avec des bananes un peu mûres qui restaient dans ma cuisine lorsque je suis tombée sur cette recette chez Marie. Je ne sais pas comment ça se fait, il reste toujours des bananes en ce moment chez moi. En fait c’est à peu près le seul fruit que mange mon n°2. Et donc j’ai pris l’habitude d’en acheter, histoire qu’il ne se rabatte pas sur des biscuits industriels à l’heure du goûter. Et là peut-être est-ce dû au fait que je fais davantage de gâteaux pour eux, ou peut être que les bananes commencent par lui sortir par les yeux, mais certainement pas parce qu’il a pris goût à d’autres fruits.

Donc les desserts aux bananes sont devenus chose courante ici, et les loulous adorent. Quant aux biscuits industriels qui atterrissent tout de même dans mes placards de temps en temps, ils commencent à trouver ça fade et plutôt bof. Au point de vouloir faire eux-même à 4 mains leur goûter du mercredi. Et mon coeur de maman bondit de bonheur, très fier lorsque je les vois traficoter dans ma cuisine à la recherche des ingrédients nécessaires à leurs prochaines expériences, lorsque je les vois casser des tablettes de chocolat noir en se léchant les doigts, et casser des oeufs qui tombent moitié par terre moitié dans le plat … Prochaine étape, leur apprendre qu’ensuite il faut tout nettoyer 😉

 

Des muffins donc ici, aux bananes. Et au caramel sous forme de carambars. Bon alors attention au cassage de ces barres de caramel. J’ai tenté plusieurs méthodes. La douce avec un couteau, doucement couper les carambars en petits cubes. Là un peu ardu, fastidieux, assez long, elles ne se laissent pas faire ! 

Puis méthode brute : Un couteau bien affuté, une planche en bois, et casser les carambars en tapant comme une brute sur les barres. Et là ça marche plutôt bien, ça va vite, ça tranche (ou plutôt ça casse) bien. Par contre, les morceaux de carambars ont une fâcheuse tendance à sauter partout ailleurs que sur votre plan de travail ! Marrant, je suis sûre que si les loulous avaient été là ils auraient bien rigolé, des tas de petits bouts de caramel collés un peu partout par terre; et attention à vos doigts. Mon couteau en céramique n’y a pas survécu, donc choisissez plutôt une lame métallique et aiguisable.

MUFFINS RÉGRESSIFS AUX BANANES ET CARAMBARS

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Nombre De Muffins : 18

Préparation : 20 min / Cuisson : 20 min

Difficulté : Très Facile

 

INGRÉDIENTS

• 250 g de farine  • 12 g de sucre  • 1/2 paquet de levure chimique  • 2 oeufs  • 80 g de beurre salé       • 150 g de lait  • 2 bananes bien mûres  • 100 g de carambars

 

 

RÉALISATION

Préchauffer le four th6, 180°C.

Faire fondre le beurre et laisser refroidir. Casser les carambars en petits morceaux.

Dans un saladier, mélanger farine, levure, sucre et morceaux de carambars. Dans un autre plus petit, oeufs battus, lait et beurre fondu. Y ajouter les bananes écrasées.

Ajouter le mélange liquide à celui des poudres, mélanger sans trop touiller.

Verser dans des moules à muffins et enfourner pour 20 minutes.

Laisser refroidir sur une grille. Déguster tiède, c’est encore mielleur !

 

 

BOUCHÉES AU SAUMON

 

J’aime bien les défis en cuisine qui consistent à choisir une recette chez un ou une autre passionné(e) de cuisine et la réaliser. Je me suis inscrite il y a quelque temps à « Un Tour en Cuisine« , et ce défi est mon premier via ce site. J’ai donc parcouru avec délice le blog de Carine, « Ma cuisine Ma passion », chez qui j’ai choisi de piocher cette recette. Et ces bouchées attendaient mes loustics à leur arrivée chez moi un dimanche soir. Ils se sont carrément jetés dessus, en se demandant ensuite s’ils m’en avaient laissé ou pas …

J’avais rajouté à la recette de Carine un peu d’aneth ciselé. Je pense que la prochaine fois que je ferai cette recette, je rajouterai également un peu de zeste de citron, qui se mariera très bien avec le saumon.

Euh oui, j’ai pu en sauver une pour y goûter tout de même. J’ai beaucoup aimé aussi. Vous pourrez les proposer en amuse bouche, une idée vraiment très sympa pour un apéro. Pensez à les décorer d’un morceaud e saumon, d’une tomate cerise ou de brins d’aneth pour une jolie présentation.

Et pour ce 110ème tour, c’est Musaraigne qui choisira une recette sur mon blog pour la tester et la présenter sur son blog « Tous les goûts sont chez Barabara« .

BOUCHÉES AU SAUMON

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Pour 16 bouchées (diamètre 5cm)

Préparation : 15 min / Cuisson : 17 min

Difficulté : Très Facile

 

INGRÉDIENTS

• 150 g de carrés frais (c’est à dire 2 gros, ou autre fromage frais peu salé, par exemple Philadelphia, St Moret, …)  • 2 càs de crème épaisse  • 2 càs d’aneth ciselé  • 3 oeufs  • 1  grosse càs de fromage fines herbes • du poivre  • 150 g de saumon fumé  • quelques tomates cerises

 

RÉALISATION

Allumer le four th6, 180°C.

Réserver 16 petits morceaux de saumon. Hacher le reste grossièrement au couteau. Mélanger au fouet les carrés frais, la crème, le fromage aux fines herbes et l’aneth ciselé. Poivrer. Ajouter les oeufs et le saumon fumé. Mélanger.

Verser dans les empreintes d’un moule en silicone. Enfourner pour 17 minutes environ.

Les bouchées vont gonfler et se colorer, elles retomberont en refroidissant.

Laisser refroidir sur une grille. Décorer avec le saumon restant et des tomates cerises piquées sur le dessus.

 

MINI-MUFFINS AUX BLEUETS ET FARINE D’ÉPEAUTRE

Encore une idée pour vos pauses café. Petit format, pour une bouchée à peine, à déguster entre deux séances de travail ou entre copines. J’ai trouvé cette gourmandise chez Isa, chez qui je fais régulièrement « mes courses » pour trouver de très jolies idées à proposer à ma table.

Les myrtilles ici sont surgelées et à utiliser tel quel. Toutefois si vous faites plusieurs fournées, pensez à allonger d’une ou deux minutes le temps de cuisson pour les dernières fournées, les fruits décongelant peu à peu, elles humidifient un peu plus la pâte et donc, demandent un peu plus de temps dans le four afin que la pâte se tienne bien.

La farine d’épeautre se trouve sans problème dans en magasin bio. Elle donne à ces muffins un goût un peu prononcé qui va très bien je trouve avec la douceur des myrtilles, donc ne faites pas l’impasse sur cette farine, elle vaut vraiment le détour. Et n’hésitez pas par la suite à l’utiliser dans vos autres préparations (mélangée à de la farine blanche), que ce soit dans une pâte brisée pour quiche, ou un gâteau aux pommes.

Atout santé : pas de beurre, du miel à la place du sucre, plein de fruits, et de l’épeautre !

MINI-MUFFINS AUX BLEUETS ET FARINE D’ÉPEAUTRE

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Nombre de mini-muffins (4 cm de diamètre)  : 30

Préparation : 15 min  / Cuisson : 15 à 17 min

Difficulté : Très Facile

 

INGRÉDIENTS

• 180 g de lait  • 60 g d’huile d’olive  • 60 g de miel  • 1 oeuf  • 150 g de farine blanche  • 150 g de farine d’épeautre  • 1/2 sachet de levure chimique  • 1 pincée de sel  • 250 g de myrtilles surgelées (non décongelées)

Plus : • 25 g de cassonade  • 1 càs de cannelle en poudre

 

RÉALISATION

Préchauffer le four th6, 7 : 200°C.

Dans un ramequin, mélanger la cassonade et la cannelle. Réserver (ce sera pour saupoudrer avant d’enfourner).

Dans un grand saladier, battre au fouet le lait, le miel, l’oeuf, et l’huile. Incorporer ensuite à la spatule les deux farines et la levure, le sel, sans trop touiller, juste assez pour qu’il n’y ait plus de traces de farine.

Ajouter délicatement les myrtilles surgelées.

La pâte est assez épaisse.

Répartir dans des moules en silicone (ou des caissettes en papier disposées dans des moules en dur).

Saupoudrer du mélange cassonade/cannelle.

Enfourner pour 15 à 17 minutes, en fonction de la taille de vos moules. Surveiller la cuisson, le dessus doit être bien doré mais pas brûlé !

Laisser refroidir sur une grille.

 

MAFALDINE À LA CHECCA DE GIADA

Certains me prennent pour une folle lorsque je raconte que je me suis abonnée à une chaine totalement dédiée à la cuisine sur le cable. Bon je ne suis pas devant ma télé 24h/24, mais je dois dire que je peux passer 2h complètes sans m’en rendre compte à regarder des gens cuisiner, à prendre des notes, souvent incomplètes tellement je me régale. Certaines émissions sont fabuleuses, parce que tout y parait facile ET que lorsqu’on se met aux fourneaux, c’est effectivement faisable et délicieux. C’est le cas entre autre pour les shows de Jamie Oliver, de Nigella Lawson, ou de Giada de Laurentiis.

L’une des recettes que cette dernière présentait justement  il y a quelques semaines était d’une simplicité qui m’a littéralement interpellée. La sauce est plus rapide à faire que la cuisson des pâtes qu’elle accompagne. Alors j’ai foncé dans ma cuisine et j’ai tenté. Pas de cuisson pour la sauce, vous n’aurez besoin que d’un mixeur, et d’un grand faitout pour la cuisson des Mafaldine, ces pâtes tellement délicieuses à regarder, et idéales pour cette recette car elles accrochent parfaitement la sauce que vous allez préparer.

Les ingrédients de la sauce étant crus, il faut vraiment les choisir de bonne qualité : des tomates bien mûres et sucrées, de belles gousses d’ail (quantité à adapter en fonction de votre tolérance à cet ingrédient), du parmesan à râper (et non déjà râpé en sachet), de belles feuilles de basilic bien vert (en non déshydraté).

MAFALDINE À LA CHECCA, DE GIADA

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Nombre De Personnes : 4

Préparation : 15 min  / Cuisson : 10 min

Difficulté : Très Facile

 

INGRÉDIENTS

• Des mafaldine pour 4, ou d’autres pâtes (environ 250 g) • 50 g de parmesan à râper  • 125 g de mozzarella  • 150 g de pignons  • 1 à 2 gousses d’ail  • 20 tomates cerises de bonne qualité  • 20 feuilles de basilic  • 5 càs d’huile d’olive  • 1 oignon nouveau  • sel, poivre

 

RÉALISATION

Faire chauffer un grand volume d’eau salée et y plonger les pâtes. Faire cuire al dente, selon les indications du paquet (9 à 10 minutes).

Faire griller les pignons à sec et réserver.

Peler et dégermer l’ail si besoin. Peler l’oignon et ne garder que les parties blanche et vert clair. Laver les tomates cerises.

Mettre dans le bol du mixeur, les tomates, l’oignon, l’ail, les pignons, le basilic et 1 càs d’huile d’olive.

Mixer, rajouter le reste de l’huile petit à petit jusqu’à obtenir une consistance épaisse. Goûter, saler et poivrer à votre goût.

Réserver. Couper la mozzarella en petits cubes.

Egoutter les pâtes, en gardant un peu d’eau de cuisson. Mettre les pâtes dans un grand plat, ajouter la sauce sur les pâtes chaudes, un peu d’eau de cuisson si la sauce vous parait trop épaisse, ainsi que la mozzarella, qui va légèrement fondre dans les pâtes encore chaudes. Servir aussitôt.

BREAD AND BUTTER AUX FRUITS ROUGES

 

Je me dis souvent que pour le dimanche, pour l’arrivée des garçons ou pour leur dernier jour chez moi, je vais nous faire un brunch. L’un de ces repas que l’on mange avec les doigts, en choisissant ce que l’on aime, à moitié assis devant la télé, ou entre deux livres. Parce que c’est le jour de relache, celui où les devoirs sont soit terminé soit pas encore faits parce que c’est trop tôt et qu’il y a tout plein de jours de vacances derrière. Je commence donc toujours comme ça, avec des idées pas compliquées à faire, pas de plat principal, plein d’idées pour plusieurs plats, plusieurs desserts, pas compliqués à faire … et ça finit rarement en brunch en fait. Parce qu’il y a des urgences à gérer, des bobos dans les escaliers, des têtes qui viennent malencontreusement heurter des jouets impulsés par les mains d’un petit frère, des coups de fil des copains des enfants, qui ont soudainement besoin de mon ordi pour fignoler une recherche pour les cours de dans 15 jours, ordi sur lequel sont copiées mes recettes, ou du moins celles que justement je voulais mettre en application … donc mon brunch se transforme en semi-brunch. Des plats sans ordre prédéfini, plein de légumes très souvent, des tas de couleurs pour le plaisir des yeux, du dessert plein de fruits parce qu’ils adorent, et la plupart du temps un repas sans stress malgré les habituels verres renversés et les pressantes envies de n°1 de nous montrer sa dernière composition au piano …

Donc ce dimanche-là, une recette qui terminait notre repas : Un pudding (puisque pain brioché, et appareil à flan) aux fruits, aussi appelée « Bread and Butter », à cause de la façon de le préparer. Je l’avais préparé en début d’après-midi, nous l’avons mangé le soir. Et comme il en restait un (tout petit) morceau, terminé le lendemain. Et je dois dire qu’après une nuit au frais, il était à peu près 100 fois meilleur, les saveurs parfaitement mariées, les jus des fruits ayant eu le temps d’imbiber la brioche et de transformer ce dessert en véritable gâteau dont chaque bouchée illuminait les papilles.

Donc je vous conseille vivement une préparation la veille.

Pour les fruits, pas de panique. Le principe ici étant de ne pas passer 4h en cuisine, j’avais acheté un mélange de fruits rouges surgelés, laissés à température ambiante depuis le matin. Mais vous pouvez choisir les fruits de votre choix, frais ou pas, fraises, framboises, groseilles, myrtilles … Pensez simplement à adapter la quantité de sucre à l’acidité des fruits que vous aurez. Ici dans les fruits que j’avais, se trouvaient pas mal de baies légèrement acidulées, et avec la quantité de sucre de cette recette, j’ai obtenu un dessert parfaitement dosé (selon mes gouts), et peu sucré, juste ce qu’il fallait pour apprécier la douceur des fruits.

Une prochaine fois, je testerais bien avec des pommes et peut être des raisins secs gonflés dans du rhum ou du thé au préalable. Il faudra simplement précuire les pommes pour les rendre plus tendre et les saupoudrer d’un peu de cannelle avant le montage du dessert.

BREAD AND BUTTER AUX FRUITS ROUGES

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Nombre De Personnes : 6

Préparation : 20 min / Cuisson : 40 min

Difficulté : Très Facile

 

INGRÉDIENTS

• 600 g de fruits rouges mélangés (myrtilles, framboises, cassis …)  • environ 10 tranches de brioche       • du beurre  • 3 oeufs  • 50 g de sucre en poudre   • 40 cl de lait  • 2 càs de crème épaisse  • 1 càc de gingembre en poudre

 

RÉALISATION

Allumer le four th6, 180°C.

Beurrer un plat à gratin. Beurrer les tranches de brioche sur une face et en disposer une première couche au fond du plat, en les serrant bien.

Répartir dessus la moitié des fruits. Poser dessus une nouvelle couche de tranches de brioche beurrées bien serrées, et recouvrir du reste des fruits.

Dans un saladier, mélanger le sucre, les oeufs, le gingembre et la crème, puis le lait. Bien fouetter. Verser sur les fruits.

Recouvrir d’une feuille d’alu et enfourner pour 30 minutes. Ôter l’alu et poursuivre la cuisson 10 minutes.

Laisser refroidir, puis réserver au frais jusqu’au lendemain.

 

Source :  Tendres Brunchs », 60 idées plaisir (Saep)

 

PANZANELLA, SALADE TOSCANE au PAIN, TOMATES et POIVRONS de JAMIE OLIVER

Je suis tombée sur ce superbe livre de Jamie Oliver, L’Italie de Jamie, en cherchant des bd dans une librairie. Pas du tout le même rayon, me direz-vous …

Alors oui je sais, mais bon mon chemin passe toujours, quoi que je fasse, et presque (si si presque) sans m’en apercevoir par le rayon cuisine. Je me fais violence pour ne pas acheter tout ce que je feuillete … faut quand même en garder pour la prochaine fois où je passerai par là ! 😉

Donc là, un livre avec beaucoup de bla bla, pas trop mon genre d’habitude, mais la cuisine italienne, je suis fan, à chaque nouveau livre, chaque nouvelle recette, des découvertes, des saveurs nouvelles avec des ingrédients pas compliqués à trouver pour la plupart. Et ici le bla bla ne gênait pas, bien au contraire, il expliquait le pourquoi et le comment de chaque plat.

Cette salade m’a séduit par ses couleurs, ses textures différentes dans un même plat. Si vous voulez la préparer à l’avance, ne mélangez le pain aux autres ingrédients que 20 minutes avant de servir afin qu’il s’imprègne des saveurs des autres ingrédients, mais sans trop ramollir.

PANZANELLA, SALADE TOSCANE au PAIN, TOMATES et POIVRONS

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Nombre De Personnes : 4

Préparation : 20 min / Cuisson : 10 min

Difficulté : Très Facile

 

INGRÉDIENTS

• 1 gros poivron rouge  • 60 g de pain rassis  • 500 g de tomates mélangées (de plusieurs couleurs, c’est plus joli)  • 2 branches de céleri  • 6 anchois à l’huile  • 1 càs de câpres  • 1/2 oignon rouge                                          • 1 bouquet de basilic  • vinaigre balsamique, huile d’olive  • 1 gousse d’ail  • sel de mer, poivre

 

RÉALISATION

Laver le poivron, le couper en deux, ôter les graines, le pédoncule et les parois blanches. Mettre sur une plaque les deux moitiés, face bombée vers le haut et enfourner 10 minutes sous le grille. Le dessus doit être noir et cloquer. Retirer du four, mettre dans un bol et couvrir de papier film. Laisser refroidir.

Pendant ce temps, laver les tomates, les couper en gros morceaux, les mettre dans une passoire sous laquelle on aura glissé une assiette creuse pour récupérer le jus, saler avec du gros sel, laisser dégorger 20 minutes en remuant de temps en temps. Mettre les anchois et les câpres dans l’assiette sous la passoire pour qu’elles baignent dans le jus des tomates.

Laver le céleri, n’en garder que les parties blanches et vert tendre (environ 15 cm). Le couper en petits morceaux, mettre dans un saladier. Peler l’oignon, l’émincer très finement. L’ajouter au céleri. Si vous prévoyez de passer à table dans les 30 minutes, ajouter le pain coupé en cubes, sinon coupez-le et réservez-le.

Presser les tomates dans les mains pour en extraire un peu plus de liquide et les ajouter aux autres ingrédients dans le saladier.

Peler les poivrons et les couper grossièrement avec les mains, les ajouter également. Déchirer un peu de basilic, l’ajouter et mélanger. Saler et poivrer éventuellement.

Retirer les anchois du jus des tomates.

Faire la vinaigrette : Peler et dégermer l’ail. Le presser et y ajouter 1 càs de vinaigre, 2 càs d’huile d’olive, puis le jus des tomates avec les câpres. Réserver dans un bol.

Ajouter les anchois à la salade, ajouter un peu de vinaigrette, mélanger, effeuiller encore un peu de basilic dessus. Servir le reste de vinaigrette à côté.